Un drame de la parole
- La parole au cœur de l’intrigue
- “Ma mort prochaine et irrémédiable” – Louis
- Le langage poétique
- “L’idée étrange et désespérée et indestructible encore” – Louis, I, 5
- “Qu’on m’aime déjà vivant comme on voudrait m’aimer mort” – Louis, I, 5
- “Et je marche seul, / À égale distance du ciel et de la terre” – Louis, Épilogue
Le langage, de l’obstacle à l’échec
- Une parole difficile
- “Qu’est ce que j’ai dit?” – Suzanne, I, 1
- “Pourquoi est-ce que tu dis ça ? … Je ne sais pas pourquoi il a dit ça” – Louis, I, 2
- “Je n’ai rien dit… Qu’est ce que j’ai dit ?… Je n’ai rien dit… J’ai dit ça, ce devait être sans y penser” – Antoine, I,2
- “Tu te dis peut-être aussi que je me trompe, / que j’invente, et qu’ils n’ont rien à te dire” – La mère, I , 8
- “Mais je suis ainsi, jamais je n’aurais pu imaginer / Qu’ils ne se connaissent, / Que vous ne vous connaissiez pas” – La mère
- “Pourquoi est-ce que tu me dis ça ?” – Antoine, I, 11
- “C’est méchant, pas méchant, non, c’est déplaisant” – Louis, I, 1
- Une parole conflictuelle
- “Rien jamais ici ne se dit facilement” – Antoine, II, 3
- “Je ne te cause pas, je ne te parle pas, ce n’est pas à toi que je parle” – Suzanne à Antoine, I, 9
- “Comment est-ce que tu me parles ? Tu ne me parles pas comme ça, jamais je ne t’ai entendue”, Antoine à Suzanne, I, 9
- “Ne me dites rien, je vous interromps, / Il est préférable que vous ne me disiez rien / et que vous lui disiez ce que vous avez à lui dire” – Catherine à Louis, I, 6
- “Laisse ça, tu l’ennuies” – Antoine à Catherine lorsqu’elle parle à Louis, I, 2
- “Ta gueule Suzanne” – Antoine à Suzanne, I, 1
- “Pourquoi est-ce que tu me racontes ça?” – Antoine à Louis, I, 11
- L’échec de la parole
- “Je ne sais comment l’expliquer, comment le dire, alors je ne le dis pas” – Suzanne, I, 3
- “Sans avoir rien dit de ce qui me tenait à cœur / (…) je pars” – Louis, II, 1
- “Ils voudront t’expliquer, mais ils t’expliqueront mal. / (…) Tu répondras à peine deux ou trois mots” – La mère à Louis au sujet des relations entre lui est son frère et sa sœur, I, 8